Elles sont à la vidéothèque !

Depuis quelques années, les séries télévisées battent des records d’audience. Ayant  considérablement gagné en qualité, elles sont devenues un phénomène culturel, un genre majeur, au point que l’on parle de sériephilie.
Séries de quelques épisodes sur 3-4 saisons, séries longues (24 épisodes sur 8-10 saisons), mini-séries, séries policières, fantastiques, médicales, etc., le genre se multiplie et s’adapte à tous.

La vidéothèque s’est intéressée à ce phénomène et vous propose quelques séries cultes : Game of thrones, True detective, Hannibal, House of cards, les Revenants, Breaking bad, Rome, les Borgia, Homeland, Sherlock, Borgen et Boardwalk Empire.

Ce n’est qu’un début, d’autres séries seront achetées en cours d’année : n’hésitez pas à nous faire des propositions !

N’oubliez pas !! Vous pouvez prolonger la durée de prêt des vidéos d’une semaine !

Sur le tapis rouge de Deauvile… #1

[Deauville] cérémonie d’ouverture du 40ème festival de Deauville… et le sourire de Jessica déchira la brume fantomatique…

« Il y a un calme à Deauville. Ce festival est atypique par son rythme, sans hystérie, bercé par la côte. Ses 40 ans en tout cas lui donne une sérénité. Le très large tapis rouge vers l’océan où connus et inconnus se côtoient, malgré quelques lointains commentaires, traverse un silence. Mais ce calme est hanté.

Lionel Chouchan, co-fondateur du Festival, dans son discours introductif rendit un hommage fort sensible et au bord des larmes à André Halimi qui a créé et porté avec lui pendant presque 40 ans ce Festival. Deauville est en deuil… « Tu n’es pas parti…tu n’es pas décédé…tu t’es simplement envolé…  » Ces paroles sont si fébriles d’émotion et de sincérité que l’on en est emporté à travers les paillettes par la violence crue de cet homme seul sur scène avec sa peine. Mais sans emphase, juste une élégance, simple, un calme, hanté.
Puis, ce fut le double hommage à Lauren Bacall et Robin Williams. Ce qui nous a permis de revoir Bogart siffler. Mme Bacall était venue lors de la 25ème édition aux côtés de Robin Williams, ils nous ont quittés respectivement le 11 et le 12 août dernier. Le souvenir, en 88, de Good Morning Vietnam parcourt la salle , les éclats de cette conférence de presse spectaculaire sont partagés encore de sourires. Cette évocation se termina par une poignante standing ovation de toute la salle en mémoire de l’insurrection du Cercle des Poètes disparus.

Le jury entra sur scène, il est à noter, comme le soulignait Costa Gavras, que les caractères et les personnalités sont particulièrement forts cette année, Lescure, Lelouch, Lindon, Jeunet, Pietra Galla ; cela promet des débats tranchés et argumentés. La sélection officielle est passionnante et plutôt risquée, au-delà des très attendus Gregg Araki, Ferrara et Corbijn.
Cette cérémonie d’ouverture avant la projection du dernier Woody Allen, Magic in the moonlight, se termina par un hommage à Jessica Chastain, traversant la salle toute de rose vêtue au milieu de ces nuances de blanc et de noir. Robin Williams fut à nouveau évoqué, comme un passage de témoin, ainsi Pierre Lescure nous apprit qu’il avait soutenu et sponsorisé financièrement les études de théâtre de Jessica Chastain. Symbole de flamme qui se perpétue au travers de ces deux hommages. Et sur scène au milieu de ses remerciements, elle trébucha nonchalamment sur les prononciations des noms français du maire, des organisateurs, et se mît à rire, sonore comme de la joaillerie, et chacun résonna. Dans cette ville d’océan et de casino donc d’incertitude, parfois fantomatique sous le brouillard, où la mort sur l’écran ce soir étincelle de sa présence, son sourire fut une magie.

La magie dans le clair-obscur de la lune, le Woody Allen pouvait commencer. »
JFA

Vous pouvez découvrir des photos du tapis rouge de Deauville à la vidéothèque jusqu’au 10 octobre 2014. Venez nombreux !

 

[ DEAUVILLE] CÉRÉMONIE D’OUVERTURE DU 40IEME FESTIVAL DE DEAUVILLE …ET LE SOURIRE DE JESSICA DÉCHIRA LA BRUME FANTOMATIQUE

 

Il y a un calme à Deauville. Ce festival est atypique par son rythme, sans hystérie, bercé par la côte. Ses 40 ans en tout cas lui donne une sérénité. Le très large tapis rouge vers l’océan où connus et inconnus se côtoient, malgré quelques lointains commentaires, traverse un silence. Mais ce calme est hanté.

 

Lionel Chouchan, co-fondateur du Festival, dans son discours introductif rendit un hommage fort sensible et au bord des larmes à André Halimi qui a créé et porté avec lui pendant presque 40 ans ce Festival. Deauville est en deuil… »Tu n’es pas parti…tu n’es pas décédé…tu t’es simplement envolé… » Ces paroles sont si fébriles d’émotion et de sincérité que l’on en est emporté à travers les paillettes par la violence crue de cet homme seul sur scène avec sa peine. Mais sans emphase, juste une élégance, simple, un calme, hanté.

Puis, ce fut le double hommage à Lauren Bacall et Robin Williams. Ce qui nous a permis de revoir Bogart siffler. Mme Bacall était venue lors de la 25ieme édition aux côtés de Robin Williams, ils nous ont quitté respectivement le 11 et le 12 août dernier. Le souvenir, en 88, de Good Morning Vietnam parcours la salle , les éclats de cette conférence de presse spectaculaire sont partagés encore de sourires. Cette évocation se termina par une poignante standing ovation de toute la salle en mémoire de l’insurrection du Cercle des Poètes disparus.

Le jury entra sur scène, il est à noter, comme le soulinait Costa Gavras, que les caractères et les personnalités sont particulièrement forts cette année, Lescure, Lelouch, Lindon, JP Jeunet, Pietra Galla ; cela promet des débats tranchés et argumentés. La sélection officielle est passionnante et plutôt risquée, au-delà des très attendus Gregg Araki, Ferrara et Corbijn.
Cette cérémonie d’ouverture avant la projection du dernier Woody Allen, Magic in the moonlight (lire notre critique ici), se termina par un hommage à Jessica Chastain, traversant la salle toute de rose vêtue au milieu de ces nuances de blanc et de noir. Robin Williams fut à nouveau évoqué, comme un passage de témoin, ainsi Pierre Lescure nous apprit qu’il avait soutenu et sponsorisé financièrement les études de théâtre de Jessica Chastain. Symbole de flamme qui se perpétue au travers de ces deux hommages. Et sur scène au milieu de ses remerciements, elle trébucha nonchalamment sur les prononciations des noms français du maire, des organisateurs, et se mît à rire, sonore comme de la joaillerie, et chacun résonna. Dans cette ville d’océan et de casino donc d’incertitude, parfois fantomatique sous le brouillard, où la mort sur l’écran ce soir étincelle de sa présence, son sourire fut une magie.


La magie dans le clair-obscur de la lune, le Woody Allen pouvait commencer.

 

 

JFA

[ DEAUVILLE] CÉRÉMONIE D’OUVERTURE DU 40IEME FESTIVAL DE DEAUVILLE …ET LE SOURIRE DE JESSICA DÉCHIRA LA BRUME FANTOMATIQUE

Il y a un calme à Deauville. Ce festival est atypique par son rythme, sans hystérie, bercé par la côte. Ses 40 ans en tout cas lui donne une sérénité. Le très large tapis rouge vers l’océan où connus et inconnus se côtoient, malgré quelques lointains commentaires, traverse un silence. Mais ce calme est hanté.

Lionel Chouchan, co-fondateur du Festival, dans son discours introductif rendit un hommage fort sensible et au bord des larmes à André Halimi qui a créé et porté avec lui pendant presque 40 ans ce Festival. Deauville est en deuil… »Tu n’es pas parti…tu n’es pas décédé…tu t’es simplement envolé… » Ces paroles sont si fébriles d’émotion et de sincérité que l’on en est emporté à travers les paillettes par la violence crue de cet homme seul sur scène avec sa peine. Mais sans emphase, juste une élégance, simple, un calme, hanté.
Puis, ce fut le double hommage à Lauren Bacall et Robin Williams. Ce qui nous a permis de revoir Bogart siffler. Mme Bacall était venue lors de la 25ieme édition aux côtés de Robin Williams, ils nous ont quitté respectivement le 11 et le 12 août dernier. Le souvenir, en 88, de Good Morning Vietnam parcours la salle , les éclats de cette conférence de presse spectaculaire sont partagés encore de sourires. Cette évocation se termina par une poignante standing ovation de toute la salle en mémoire de l’insurrection du Cercle des Poètes disparus.

Le jury entra sur scène, il est à noter, comme le soulinait Costa Gavras, que les caractères et les personnalités sont particulièrement forts cette année, Lescure, Lelouch, Lindon, JP Jeunet, Pietra Galla ; cela promet des débats tranchés et argumentés. La sélection officielle est passionnante et plutôt risquée, au-delà des très attendus Gregg Araki, Ferrara et Corbijn.
Cette cérémonie d’ouverture avant la projection du dernier Woody Allen, Magic in the moonlight (lire notre critique ici), se termina par un hommage à Jessica Chastain, traversant la salle toute de rose vêtue au milieu de ces nuances de blanc et de noir. Robin Williams fut à nouveau évoqué, comme un passage de témoin, ainsi Pierre Lescure nous apprit qu’il avait soutenu et sponsorisé financièrement les études de théâtre de Jessica Chastain. Symbole de flamme qui se perpétue au travers de ces deux hommages. Et sur scène au milieu de ses remerciements, elle trébucha nonchalamment sur les prononciations des noms français du maire, des organisateurs, et se mît à rire, sonore comme de la joaillerie, et chacun résonna. Dans cette ville d’océan et de casino donc d’incertitude, parfois fantomatique sous le brouillard, où la mort sur l’écran ce soir étincelle de sa présence, son sourire fut une magie.

La magie dans le clair-obscur de la lune, le Woody Allen pouvait commencer.

JFA

La petite lumière d’Antonio Moresco

Le jury du prix Médicis a dévoilé vendredi 12 septembre dernier sa première sélection de 13 romans français et 15 romans étrangers.
Parmi les auteurs retenus dans la catégorie romans étrangers, figure Antonio Moresco pour son ouvrage La petite lumière (Verdier) qui a été traduit de l’italien par Laurent Lombard, maître de conférences en littérature italienne à l’Université d’Avignon et traducteur des œuvres de d’Hugo Pratt.

La petite lumière d’Antonio Moresco sera très bientôt disponible à la bibliothèque. Pour ceux qui ne peuvent pas attendre, vous pourrez rencontrer Antonio Moresco et Laurent Lombard le lundi 29 septembre à 17h30 à l’Université !

Venez nombreux !

Ouvrages fondamentaux

Depuis ce lundi 15 septembre et jusqu’au vendredi 10 octobre 2014, vous pouvez découvrir sur les rayonnages situés près de l’entrée de la bibliothèque, une exposition d’ouvrages fondamentaux à destination des étudiants de licence. Sélectionnés dans tous les domaines du savoir, ces ouvrages sont incontournables et indispensables pour la construction des connaissances.
A consulter sur place uniquement pendant la durée de l’exposition !

 

Vidéothèque

H -1 avant la réouverture de la vidéothèque !

Parmi les nouveautés de cette rentrée : 12 years a slave, American bluff, Diplomatie, Mandela : un long chemin vers la liberté, Le transperceneige, Le tombeau des lucioles, La tête en friche…

Toute l’équipe vous attend !

Trans-Festivaliers

Vous aviez peut-être raté l’exposition Trans-Festivaliers qui avait eu lieu à la bibliothèque Centrale en janvier-février 2014 ? Pas de panique ! Les étudiants de l’association Tube à idées la proposent à nouveau à la bibliothèque Agroparc depuis ce lundi 8 septembre et jusqu’au vendredi 3 octobre !

Venez nombreux !

Ressources audiovisuelles

Notre bibliothèque électronique, accessible dans l’onglet collections de notre site web,  dispose désormais d’une nouvelle entrée : Ressources audiovisuelles.

Celle-ci donne accès à une sélection de ressources libres de droit vous permettant de consulter, par exemple, les programmes audiovisuels de Canal-U, les films et vidéos produits par le CNRS ou encore France Culture Plus, le webmédia étudiant de France Culture.

Bonne consultation !

 

Bonne rentrée !

Bonne rentrée universitaire à tous !
N’hésitez pas à faire appel à l’équipe de la Bibliothèque Universitaire : nous vous accompagnerons dans vos recherches et répondrons à toutes vos questions sur la bibliothèque, ses services, ses collections… !