Jusqu’à la fin du 18e siècle, les nuages sont en peinture de simples éléments du décor, des nuages de convention ou symboliques. La peinture et la poésie modernes ont un goût prononcé pour l’indéfini et le mouvement perpétuel des phénomènes visibles. L’eau suspendue dans le ciel leur fournit un répertoire infini de formes, sous l’espèce des nuages, brumes et vapeurs que les peintres et les poètes de la modernité ont poursuivi du pinceau ou du stylo…
Pour en savoir plus, venez écouter Anne-Élisabeth HALPERN, aujourd’hui à 14h, à la vidéothèque !